Ce premier long métrage d'Antonioni est étonnamment bavard. Plus tard le réalisateur italien ne s'embarrassera pas d'autant de dialogues et transcendera l'incommunicabilité des personnages purement et simplement par leurs silences. On doit peut être à l'exquise Lucia Bosé, miss Italie 1947, de ne pas céder face à l'ennui qui domine cette austère chronique. À réserver aux inconditionnels du maestro.
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