Classique de Minelli, "Les ensorcelés" se découpent en trois longues scènes rétrospectives qui expliquent comment un réalisateur, une actrice et un écrivain ont été séduits puis trahis brutalement par un producteur (excellent Kirk Douglas). On s'ennuie de ce scénario à répétition qui n'offre aucune surprise. Au palpitant, électrocardiogramme plat.
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